Quelle est la maison qui vous habite ?


Crédit photo : @cekabd sur Instagram

Ça sentira bientôt le cahier neuf et vous êtes peut-être déjà de retour au bercail. Vous n’avez pas encore rangé la crème indice 15, mais le cœur n’y est plus. Pourtant, en repassant, avec vos valises sableuses,  le seuil de l’antre qui vous sert de résidence principale, vous avez eu un pincement affectueux, là tout près du sternum. Lire la suite « Quelle est la maison qui vous habite ? »

Si les murs ont des oreilles, les plantes peuvent parler.

Avec le langage des fleurs, on était bien loin de la vérité. « Passeur de sciences » et les artistes de Scenocosme nous éclairent sur le langage des plantes…

Je suis dans l’obligation de vous annoncer que des recherches très sérieuses laissent penser que les végétaux communiquent sûrement entre eux. Lire la suite « Si les murs ont des oreilles, les plantes peuvent parler. »

EDF éclaire la lumière. Si, si…

Parfois, de belles photos ne suffisent pas à faire une bonne campagne, mais ça décore bien.

Le symbole de la lumière est fondamentale pour les Jeux Olympiques… vous savez, ça commence toujours par la flamme qui fait des milliers de kilomètres avant d’aller embraser une vasque sur le lieu de la grand’messe du sport.

Mais, même avec beaucoup de centrales nucléaires et des paquets d’éoliennes, même avec le souffle inspirateur de nos ancêtres grecs et du baron Pierre de Coubertin, la lumière peut quand même manquer au moment d’écrire une accroche en rapport avec les JO. Une panne d’électricité, une bougie tremblotante et on ne trouve plus ses mots sur le clavier. Lire la suite « EDF éclaire la lumière. Si, si… »

Luisance, pour briller en société


 Illustration originale de Alex Formika – Tous droits réservés

Nous sommes nombreux à affirmer que tout ce qui brille n’est pas or, sans être forcément bijoutiers de père en fils… mais notre science s’arrête là. Attiré autant qu’effrayé par la lumière depuis la guerre du feu, notre œil a de toute façon un faible pour les étincelles. Préférer le feu d’artifice à la prouesse discrète, c’est dans notre nature et pas seulement au 14 juillet. Avoir des difficultés chroniques pour faire la différence entre l’essence et l’apparence, c’est dans la lignée de notre paresse entretenue. Faire confiance malgré nous à des signaux ou codes immédiats pour ranger telle personne ou telle situation dans un tiroir déjà tout prêt, c’est effectivement beaucoup plus commode.

Les apparences sont pourtant faites pour être dépassées… même si on n’a pas toujours sous le capot la reprise nécessaire pour les doubler à toute vitesse ! Un brillant ingénieur saura-t-il nous sortir de cette éternelle difficulté ?

En attendant, il faut prendre le risque de décevoir après avoir un peu « sur-brillé »… ou bien tenir le pari de créer une belle surprise auprès de ceux qui prendront la peine de gratter notre couche de timidité.

Si nous décidions d’être simplement nous-mêmes, le monde brillerait-il pour autant par sa simplicité ?

 Le site du livre « C’était mieux demain »