Je peux vous dire que vous allez m’entendre ! Attention : aucune menace autoritariste derrière cette expression. Il faut l’entendre au premier sens du terme. Rebecca Armstrong m’a en effet invitée à parler publicité et philosophie en 2050. Un mix étrange et taillé sur mesure pour ma pomme, enregistré chez les Normandy Web Xperts. On air…

Mes errances futuristes sur la Toile m’ont naturellement conduite à m’intéresser au « shoot de futur » que Rebecca Armstrong dispense chaque jeudi à ses fidèles « poditeurs » (néologisme maison total, on est d’accord). Sur le mode de la conversation, elle explore avec l’invité.e un sujet en lien in fine avec notre bel avenir à tous. Agriculture, journalisme, droit des femmes… tous les sujets sont les bienvenus pour s’approprier le futur. Au début du XXè S., fort confiants dans le progrès, on aimait imaginer avec optimisme la vie au siècle suivant à travers le fantasme de l’an 2 000. Dans cette deuxième décennie du XXIè S., l’horizon 2050 (à peine 33 ans devant nous) semble une échéance bien suffisante pour interroger nos angoisses, nos doutes sur le progrès humain et les catastrophes qui nous pendent au nez. Les dystopies n’ont jamais autant fait recette au cinéma et en littérature. Heureusement, Rebecca est là et va à la rencontre d’autres voix, souvent moins pessimistes. On est sur le terrain des signaux faibles, des mondes en devenir qui germent par le bas. On ne se la joue pas « prospective à la Cassandre du haut de ma chaire de futurologie »…. et ça fait du bien. Si j’ai accepté l’invitation de Rebecca Armstrong pour #2050LePodcast, c’’est parce que je suis fan de sa démarche.

Suivez-nous donc au pays de l’esprit critique, du café philo dans l’abribus, de la réclame qui agite les neurones si on le veut bien, du consomm’acteur qui ne s’en laisse pas compter. Tout part bien sûr du livre « C’était Mieux Demain » dont j’ai signé les billets d’humeur. À tout de suite… N’hésitez pas à vous abonner à son podcast et à causer dans le site pour dire ce que vous en avez pensé.