Dans la nuit du passage à l’heure d’été, je ne faisais pas de cauchemar à propos de cette heure de sommeil en moins dont on nous rebat les oreilles (oui, on rabat les rétros et on nous rebat les oreilles… vous pouvez vérifier). Je ne l’ai pas vu cette heure en moins, car je dormais. Si j’avais été dans le train, je serais au moins arrivée une heure plus tard… Là, je n’ai même pas raté un rêve. J’ai même une preuve qu’aucune heure n’a disparu dans un « pffft ».
Cette nuit-là, mon mobile intelligent (oui un smartphone quoi) enregistrait mes ronflements et mes éventuelles apnées du sommeil grâce à l’application iSommeil. Alors si une heure s’était évanouie, ça aurait fait un peu de bruit.
L’apnée je vous le rappelle, n’est pas réservée à ceux qui ont un ami dauphin et des ouïes sur le côté. Certaines personnes font de l’apnée quand Morphée leur chante une berceuse, suffisamment longtemps pour qu’à la longue, ça leur abîme la santé (mauvaise oxygénation, fatigue cardiaque, épuisement anormale dans la journée…). Et au réveil, le Grand Blanc : ils ne se souviennent de rien.
Grâce à l’application iSommeil, j’enregistre pendant toute la nuit mes ronflements ou mes mouvements et je découvre le graphique le matin sur mon mobile intelligent. En plus, je me suis réveillée avec la musique de mon choix, y compris une des ritournelles de ma musicothèque portable. Je peux même faire dans la journée des tests pour évaluer ma vigilance. Cette petite merveille gratuite sur l’AppStore donne même les adresses des centres du sommeil si jamais la marmotte qui sommeille en vous réclame un docteur.

Comment ? Vous pensez que je raconte des histoires à dormir debout ? Il ne vous reste plus qu’à aller sur l’App Store ou sur isommeil.com
A quand l’application pour enregistrer les rêves ? Jamais, je l’espère…